Le Master lui avait bien expliqué la chose : le soumis devait se rendre disponible toute la soirée pour pomper très longuement, nettoyer, vénérer la grosse bite black. Il en avait envie, il en avait besoin. Il est venu et il a obéi, instantanément. Rien ne semblait plus naturel que de s'abaisser pour faire durcir le manche, le faire gonfler d'envie, le mouiller avec la bave. Il a oublié son propre plaisir. Il ne compte plus. Seul compte le Maître. Alors on suce, de mieux en mieux, de plus en plus profondément. On aime le goût, on déguste. On devient accro. La suite ? Il la connait déjà et il en frémit d'avance : prendre le chibre du mâle rasta dans la fente. Être utilisé et aimer ça. Parfait.