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Plan baise dans la Benz
Published on 12/03/2019
Salut, me revoilà, Kevin, renoi, 1m80, 80 kg. Je reviens vous parler d’un autre plan avec Junior, le cefran bogosse avec qui j’avais fait ma première double péné. Un dimanche soir, il m’appelle et me dit qu’il est en galère sur Panam et qu’il cherche quelqu’un pour le ramener du côté de Rouen. Ca me fait chier de ressortir à 22h mais j’accepte. Je saute dans ma Benz et je le retrouve à la gare Saint Lazare. Junior monte et on part direction la Normandie. Sur le chemin, il me raconte ses derniers exploits. Lui qui kiffe les blacks, il me raconte sa semaine de sexe, pleine de pipes et de sodos avec des Haïtiens et des Africains en tout genre. J’ai droit à tous les détails, ce qui fait que je ne tarde pas à avoir le barreau. Le trajet passe vite à parler teub et je sens Junior prêt à passer à la vitesse supérieure. Il me fait sortir sur une aire d’autoroute mais, même dans le noir, l’endroit n’est pas assez discret pour une petite baise tranquille. Je reprends la route. Finalement, on arrive dans sa ville juste avant Rouen. On traverse la ville puis au bout de 5 minutes, nous voilà ressortis de son patelin. Junior voit un parking au bord de la route, me demande de me garer bien au fond, histoire d’être à l’aise. Ma Benz étant spacieuse, on passe tous les 2 à l’arrière. On commence à se galocher, calés tranquillement sur la banquette. Je kiffe sa bouche et je passe ma main sous son pull. Je sens ses abdos bien dessinés, ce qui me fait triquer de plus belle. Junior le sent et commence à me malaxer le paquet à travers le jean. Il plonge la main dans mon boxer et serre mon zboub histoire de le faire grossir au max. J’en peux plus et je baisse mon fut. Le cefran n’attendait que ça et plonge comme un affamé sur ma bite. Il me pompe comme dans les récits qu’il m’a servis 1 heure avant. Ca me met bien en condition pour lui donner ce qu’il est venu chercher : la sodo du dimanche soir par un noir ! Je le bascule sur la banquette histoire de lui préparer la rondelle. Le garçon n’a pas menti, elle a bien servi toute la semaine. Rosée et déjà détendue, elle accueille facilement 1 doigt puis 2. Je mollarde bien sur son trou et je pose mon gland à l’entrée. Je pousse doucement mais sûrement et je ne rencontre pas de grosse résistance. Le gland étant passé, je pousse d’un coup et mes 20 cm se retrouvent au chaud. Junior pousse un cri que personne n’entend lol Je m’attrape le temps qu’il s’habitue à l’épaisseur de mon sexe et au bout de 2 minutes, je commence mes va et vient. Junior est chaud et commence à bouger tout seul sur mon zeub. C’est peut-être un cefran mais quand il s’agit de baise, il a le rythme dans la peau. En plus de ses mouvements, il serre sa rondelle autour de ma bite, ce qui a le don de me faire monter en pression. Je ressors de temps en temps histoire de ne pas balancer la sauce trop tôt. Puis je rentre à nouveau pour me remettre au chaud. Il froid dehors mais pas dans la Benz. 2 bagnoles passent sur la route mais ne nous calculent même pas avec la buée sur les vitres. Je continue mes va et vient encore pendant 2-3 minutes quand Junior me dit : on va chez moi. Je lui demande qui est chez lui. Il me répond : toute ma famille. Je dis non, je ne viens pas chez toi. Je te dépose et je rentre chez moi. Il me dit ok. Je me rhabille vite fait, je démarre et je me laisse guider jusqu’à chez lui. Devant la maison, il me dit : viens ! C’est de la folie mais j’accepte. On rentre. Sa chambre est au rez-de-chaussée en face de la porte d’entrée. Il referme la porte de sa piaule derrière moi et lance un film de boules sur son ordi. Je dis : tu vas réveiller la maison. Il me dit non t’inquiète, le chauffage d’appoint couvrira le bruit du film… et de notre baise. Il se fout à poil, baisse mon jean et recommence à me sucer. La situation me fait triquer de ouf. Je suis là avec un bogosse avec un film de cul en fond sonore en train de me faire sucer et risquant de me faire griller si sa daronne rentre dans la chambre… Je chasse sa reum de ma tête au moment où il me redonne son boule à niquer. Je lui lèche la rondelle comme il faut et je replonge mon zboub en lui. C’est toujours aussi bon. La douceur et la chaleur de son cul, je m’en lasse pas. Lui est aussi chaud que moi et se branle énergiquement. Il sent le jus monter, retire ma teub de son boule, se met face à toi et crache sur son torse. Il m’en faut pas plus pour cracher mon jus sur ses abdos. Putain, ce que c’est kiffant. Je me rhabille vite fait. Je me casse de chez lui et je rentre dans ma Benz direction Paris, fatigué mais bien vidé par Junior, un cefran qui kiffe vraiment la bite black.