Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Le livreur de pizza - 1
Histoire gay publiée le 20/04/2023
J’ai 19 ans et mon Homme mur m’a payé et offert, un petit appartement près de mon Lycée et surtout à 10 minutes de ma future FAC. Il faut juste que je réussisse ma Terminale avec des points qui me donne mon BAC. Bien sur, j’adore faire la fêtes et j’invite souvent des potes et copains, à avaler et a manger des pizzas chez moi. Mes voisins ne rouspètent pas lorsque je fais un peu trop de bruit, car c’est mon Homme mur le proprio de l’immeuble. Depuis quelques jours, je prépare une soirée pizza/limonade avec 5 à 6 potes que j’apprécie particulièrement, pour leurs blagues et la joie de vivre. Ma copine ne fait pas partie de cette soirée, car j’ai toujours séparé mes soirées entre potes et celle intime avec ma copine. Tous est prêt le jour prévu et j’ai commandé 4 pizza géante et acheter 3 bacs de limonade mise au frais dans mon frigo. Il n’y a d’ailleurs plus rien d’autre dans le frigo, les sodas y prenant toute la place. 20h00, je reçois un coup de fil que les potes annulent la soirée ! La raison est un peu nébuleuse, mais de toute façon, ils ne viendront pas. Juste que j’ai mes pizzas qui vont arriver vers 21h00 et que je vais rester avec. Je râle un peu sur mes potes et réfléchi à une autre solution. Le temps passe un peu trop vite et alors que je suis devant ma télé en train de regarder le film du soir qui est « 50 nuances de Grey » la sonnette retentie. - Au 5ième porte de gauche ! Dis-je dans le parlophone. J’ouvre la porte de mon appartement en la laissant contre et retourne voir le film. Quelques minutes plus tard un léger « Toc-toc » se fait entendre. - Entrez et posez sur la table, j’arrive Criais-je depuis mon fauteuil. C’est alors que la porte s’ouvre en grand et qu’une apparition divine et splendide s’encadre dans ma porte. Un magnifique black, jeune et mince, mais bien musclé habiller d’un pant à court assez moulant avec dans ses bras 4 grandes boites de pizza. Apparentement le gars est heureux de vivre et ne semble même pas fatigué de son boulot. Moi, je le mate comme si je vois un de mes meilleurs gâteau et lui continue à sourire et même à être un peu étonné de me voir bouche bée devant lui. Il doit avoir dans les 20 ans et est vraiment beau comme mec. De plus lorsqu’il a déposé les cartons de pizza et qu’il m’attend debout pour que je le paye, je vois sur l’avant de son pantalon court, la forme d’une bite bien marquée. Jusqu’à ce jour, je n’ai jamais eu de relation sexuelle avec un autre garçon et je ne me sens nullement homo. Mais devant ce black beau comme un ange descendu du ciel, je perds tous mes repères et mes bonnes intentions. Il est beau, il est là et me sourit d’une façon équivoque. Je parviens enfin à bouger et faire un pas vers lui pour lui demander : - C’est combien ? - 60 euro, monsieur, sans service ! - Je…j’ai… heu !... Voilà 100€ - Oh !... Je n’ai pas la monnaie, monsieur ! - Heu ! …. Gard…. Garde tout ! Dis-je dans un élan de générosité. - Mais… mais c’est beaucoup trop, monsieur ! - T’inquiète, j’ai de quoi vivre encore ! Lui dis-je en rigolant et en m’approchant de lui. - C’est vraiment gentil de votre part ! Je m’approche de lui pour lui donner le billet de 100€ et lui demande doucement : - Tu as encore beaucoup de pizza à livrer ? Dis-je en le tutoyant vu qu’on est proche en âge. - Heu ! Non, monsieur Vous êtes mon dernier ce soir ! - Tu rentres chez toi, alors ? - Heu ! Oui, mais j’habite de l’autre côté de la ville, monsieur ! - Ecoute, mon gars, j’avais prévu une soirée pizza et limonade avec mes potes, mais ils se sont désistés. Alors si tu as envie je partage avec toi au moins une pizza et quelques sodas ! - C’est gentil, mais j’habite trop loin et cela va me faire rouler la nuit. - Il est déjà plus de21 h00H et le soir tombe, de toute façon tu rouleras la nuit si tu dois traverser la ville ! - C’est vrai ! Dit-il en fronçant un peu les sourcils, se demandant surement où je voulais en venir avec mon invitation. Mon œil averti avait pourtant décelé un frémissement de sa bite dans son pantalon moulant et je voyais bien qu’elle semblait grossir et s’allongé un peu. Je lui donne le billet et frôle les doigts de sa main tendue. Un choc électrique me parcours tout le corps je sens mes jambes devenir molles et mon corps se recouvrir de chair de poule d’excitation. À peine le beau black me prend le billet des mains il lève son autre bras, m’attrape par la nuque et avec une puissance inouïe mais tendre à la fois, il me plaque sa bouche sur la sienne et nous nous roulons un patin d’enfer. Je bande immédiatement sous sa langue qui explore la totalité de ma cavité buccale et je ne peux m’empêcher de plaque ma main droite sur la que fait sa bite dans son pantalon moulant. Sans un mot, il stoppe notre baiser et sa main toujours sur ma nuque me fait descendre le visage jusqu'à hauteur de sa bite ! J’ai alors devant mes yeux un engin qui doit dépasser les 25 cm et gros comme un saucisson d’au moins 6 cm d’épaisseur. Jamais de toute ma vie, je n’ai vu une pareille bite sauf peut-être sur le site porno gay que j’aime visiter de temps en temps. Je pers tout sens de la réalité et de la morale, pour prendre avec mes deux mis la ceinture de son pantalon court et de son slip et de descendre le tout sous ses genoux. Son énorme engin me saute au visage et sans une seconde de plus, j’ouvre la bouche et le prend de presque la moitié. Son gland me titille la luette et j’ai comme un spasme de crachassement ? Je commence une fellation maladroite, car c’est une première pour moi, surtout sur un engin pareil. J’ai bien eu quelques relations soft, entre copain dans ma jeunesse, mais rien de bien sérieux, juste un passage de ma puberté pour savoir où j’en étais. Depuis, j’étais tourné résolument vers les jeunes femmes. Mais présentement, j’étais comme fou de cette énorme bite que je suçais avec un tel entrain même si je n’avais pas d’expérience, que le gars me ralenti dans mes va et vient. - Du calme ! Mon pote ! Tu vas me faire gicler comme un ado ! Je ne pris même pas la peine de répondre, car j’aurais dû retirer sa bite de ma bouche et ça je ne le voulais pas. Il a bien essayé de me prévenir de son éjaculation éminente, j’ai fait la sourde oreille et j’ai continué de le pomper comme une machine folle. Les premiers jets se sont écrasés sur le fond de ma gorge, m’obligeant à avaler les 4 ou 5 premiers jets sans pouvoir goutter, ni la consistance, ni le gout. Ce n’est que lorsque sa bite finie de gicler et que les volutes sans puissance mais abondant encore coulent sur ma langue que je peux enfin goutter son sperme épais et onctueux. - Oh ! Putain ! Il y a longtemps que je n’ai pas juté comme ça ! Bravo mon pote tu es un pro ! - Heu !... Mer… Merci dis-je en me frottant la bouche avec mon avant-bras et me rendant enfin compte que je venais de sucer un grand black et que j’ai avaler on sperme sans précaution particulière. - Putain ! Quel accueil ! Dit-il ! - Tu veux bien passer la soirée avec moi ? - Deux fois plus qu’une mon pote ! Je m’appelle Jordan (prononcez « Jordanne ») - Heu ! Moi, c’est Alain ! - Et bien mon pote Alain j’ai très envie de gouter cette pizza ! Jordan garde son sexe hors de son pantalon et même décide de le retirer avant de s’assoir à table pour dévorer la moitié d’une des pizzas sur la table. Tout comme lui, je dévore un quart de pizza et ne le quitte presque pas des yeux. Je ne comprends pas moi-même cet engouement pour un mec, soit-il black ou pas. Pendant qu’on vide des sodas et qu’on mange de la pizza, je lui propose de passer la nuit ici que j’ai un grand lit. Jordan comprend immédiatement où je veux en venir et me dit : - Es-tu sur de vouloir que je passe la nuit avec toi ? - Heu ! Oui, j’aimerais bien ! - Tu sais ce qui risque de se passer ? - Je …. Je suis d’accord, Jordan ! Tu pourras faire de moi ce que tu veux ! - Putain de mec ! C’est rare un gars comme toi qui dès le premier jour en veux un maximum ! - Je… je ne sais pas ce que j’ai, mais je ne pourrai plus me passer de ta « tub » Dis-je en rougissant comme un gamin. M’imaginant ce qui m’attend dans la nuit, je me redresse et sort ma bite d’une quinzaine de centimètres et me masturbe devant Jordan qui sourit de me voir aussi excité. Il repousse ma main et prend le relais pour me masturber par-dessus la table avec le quart de pizza restant. Très excité par ce qui vient de se passer et imaginant ce qu’il va encore se passer, j’éjacule comme jamais depuis ma puberté et Jordan, vise le quart de pizza pour la recouvrir de mon sperme. Repus et vidé je me rassois et reprend mon souffle. Jordan me regarde en souriant de toutes ses belles dents et prend le quart de pizza inondé de mon sperme. - On la fini à deux ? - Heu !... Jordan ouvre la bouche et mord dans ce quart de pizza recouverte de mon sperme, puis me tend le morceau qui reste. J’ouvre la bouche et mord aussi une bonne partie de ce quart et mâche comme lui ce morceau de pizza améliorée. Nous finissons la totalité de la pizza et éclatons de rire comme si on venait de faire une bonne blague. Lorsque Jordan se lève de table, je vois son engin de guerre à nouveau raide et cette fois bien visible en totalité. Je n’en crois pas mes yeux et aussitôt ma bite reprend du service rien qu’en voyant l’engin de Jordan. Sans vraiment se concerter, nous allons dans ma chambre et nous nous retrouvons nu tous les deux nus. Je peux alors admirer le corps musclé de Jordan et en avoir encore plus envie. La nuit que nous avons passée ensemble va m’ouvrir l’anus au-delà de mes possibilités, je vais pleurer et être bâillonné par Jordan, qui pour finir, va m’attacher les mains dans le dos et replier mes jambes par-dessus ma poitrine, pour me sodomiser plusieurs fois dans la nuit. Je vais avoir deux éjaculations sans me toucher la bite rien que du frottement du sexe de Jordan contre ma prostate. Je serai obligé de nettoyer sa bite avec ma langue à chaque sodomie et le remettre en forme rien qu’avec ma bouche. Au petit matin je serai complètement rempli et repus de sperme et malgré ma fatigue et ma totale obéissance à Jordan, je vais admirer ce type et même lui proposer de revenir quand il veut. À ce moment précis, je suis encore attaché sur le lit, les mains dans le dos et le cul offert à sa bite, puisqu’il a pensé relier mes chevilles par-dessus la tête en passant les liens par ma nuque. Jordan va prendre une longue douche en me laissant ainsi attaché, nu et rempli de son sperme pendant tout le temps qu’il prend pour se laver et se rhabiller. Prêt à partir, il me détache et me demande : - Je peux revenir ce soir avec quelques potes ? On finira les pizzas et la limonade ! - Heu !... Je… je n’ai pas… Ok ! Finis-je par dire en me frottant les articulations maintenues trop longtemps pas les liens. - Ok ! Disons 20h00 ? - D’ac …. D’accord ! Jordan se baisse sur moi et me roule un long patin baveux. - À ce soir, ma salope ! Dit-il comme si c’était déjà mon mec officiel. Comme on est samedi matin, je sais que j’ai encore tout le weekend pour moi et donc pour Jordan aussi. Je vais prendre une longue douche également et me faire un nettoyage minutieux. Je sens que ma rondelle à déguster et soudain crains la prochaine soirée avec Jordan et ses potes. Je pense aussi à Mégane ma petite ami à qui j’ai promis de l’emmenée au cinéma le soir même. Je sais d’avance qu’elle va le prendre très mal, car déjà quelle est jalouse de mes soirée limonade et pizza entre pote, lui annuler un rendez-vous va surement me couter cher. Mais je ne peux résister à Jordan et n’attend plus qu’une chose, c’est qu’il revienne le soir même. Ce qui va se passer ce soir-là est une autre histoire que je vous enverrai très vite.