Histoires de sexe

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Les vacances en Côte-d?Ivoire
Histoire gay publiée le 06/05/2013
Salut c’est encore Vlad, le franco-russe de Neuilly. Il faut que je vous raconte comment je suis devenu une vraie lope. C’était il y a assez longtemps, je venais d’avoir 18 ans et avec mes parents ont était parti en vacance en Côte-d’Ivoire. Ils avaient réservé deux chambres, une grande suite pour eux, et une petite suite juste pour moi, dans un hôtel pas mal du tout sur la plage.

A cette époque je me faisais vraiment pas souvent de mecs, même si j’avais déjà été consommé (il faudra que je vous raconte ma première fois aussi, c’était pas mal aussi). J’étais un peu plus « sage ». Donc on débarque dans cet hôtel, on prend nos chambres, et on va à la plage, on sort manger en ville etc… Le premier soir on est assez crevés par le voyage et on va se coucher tôt. Mais, je me réveil dans la nuit, vers deux ou trois heures du mat’, j’ai envie de manger un truc. Donc, j’appelle le service d’étage et je demande un ou deux fruits et de quoi grignoter un peu.

Cinq minutes après, on frappa à la porte et un grand black (2 mètres au moins) en tenu de serveur se pointe avec un plateau repas. Je le fait entrer et je l’observe un peu sans avoir rien en tête. Il a l’air bien baraqué, 24-25 ans et il a de très beaux yeux bruns, un large sourire très blanc et des bras puissants. Alors que je sors de mes pensées, je remarque qu’il s’est arrêter et qu’il me fixe depuis un moment. Il me fait un grand sourire et demande si je veux autre chose : « Vous voulez autre chose ? une banane, une baguette,… ? » Je fronce légèrement les sourcils quand il parle de ces aliments. Et il me regarde dans les yeux pour me dire : « Allez fais pas ton timide, je peux te dire que tu m’as fait bouger en pleine nuit pour bouffer, tu vas manger ! Je les connais moi les toubabs qui font venir le service d’étage en pleine nuit, vous voulez tous de la teub ! »

Je commence à dire qu’il doit y avoir erreur, que j’avais juste faim. A ce moment-là, il me saisit par la nuque et m’oblige à me mettre à genoux et il me colle la bouche sur son entre-jambe. « Ta gueule ! Tu m’as fait venir, maintenant tu la fermes et tu vas me vider les couilles. Si tu veux pas, tu vas avoir un ennui. Okay ?» Il avait une lueur assez puissante dans les yeux qui montrait qu’il plaisantait pas. Et puis je ne savais pas pourquoi mais ça m’excitait de me faire dominer comme ça par un grand black. J’ai donc secoué la tête pour dire oui. Il a baissé son pantalon et a fait glisser son boxer jusque sur ses chevilles. Et j’ai découvert une putain de queue de 23 cm qui bandait mollement. Je l’ai prise en bouche direct et il a eu un petit sursaut de plaisir. Je me suis mis à lui sucer le gland, à donner des petits coups de langue sur son sexe circoncis, a faire des vas et viens avec ma bouche pendant qu’il gémissait de plaisir. « Hum, toi tu es une bonne chienne ! Les blancs sont vraiment les meilleurs pour ça ! Même meilleur que nos femmes ! Toi t’es une vraie suceuse salope ! »

Il accompagnait mon mouvement avec ses reins, me tenant la nuque et me baisant par la bouche. Et puis il s’est retiré et m’a giclé au visage. Il a remonté son pantalon et m’a souris. Et il est parti sans un mot. Moi j’avais aimé ce moment, j’aurais aimé qu’il me baise vraiment. Mais il était parti. Je me suis donc branler en pensant à lui et je me suis couché et endormi. Le lendemain, on passe une journée normale et je rentre dans ma chambre vers 1 heure ou deux heures du mat’. Vers trois heures, alors que je reve, j’entends un bruit dans la pièce et soudain une main vient sur ma bouche et on me saisit les bras. « Tu gueules pas hein, c’est moi. »

Je me retourne et je vois mon beau black en face de moi et … trois de ses potes. Il avaient tous entre 24 et 26 ans. Des mecs musclés qui feraient fondre n’importe quelle nana ou lope. « J’ai bien aimé la nuit dernière donc je me suis dit que tu serais pas contre un peu de compagnie cette nuit. Surtout qu’on a tous fini notre service là donc on a tout notre temps. » Je regardais ces quatre beaux blacks dans ma chambre, mais mon premier instinct fut la peur. J’ai essayé de me lever de mon lit, mais il m’a plaqué dedans et m’a remis la mais sur la bouche. Deux de ses potes sont venus et ils m’ont attaché les mains dans le dos, les pieds et mis un truc sur la bouche. J’étais ligoter et bâillonné dans mon lit. Ils ont commencé à parler en une langue que je ne comprenais pas et ils ont ri. Ils se sont mis totalement à poil et ils m’ont déshabillé aussi. Je me suis donc retrouver nu dans mon lit, attaché et sans possibilité d’appeler à l’aide. Et … ça m’a excité à mort ! « Et mais tu bandes salope ! Je t’avais dit qu’il aimerait ça quatre teubs dans sa chambre Joseph. »

Il parlait à un des autres renois. Ils avaient tous des enormes queues dans les 21-23 cm. Mon renoi, qui en fait s’appelait Eugène, vint vers moi et me dis de la fermer, que j’allais passer un bon moment si je faisais ce qu’ils disaient. On me retira donc le foulard de sur la bouche et les cordes qui me retenaient. Je me mis de moi-même à genoux et je commençais a pomper ces grosses bites pleines de spermes et d’envie. J’alternais entre les quatre teubs alors que chacun me tenait la tête, amplifiant mon mouvement sur la bite de l’autre. Ils gémissaient tous, j’en suçais un, j’en branlais deux. Et puis l’un à dit avec un grand sourire : « Hey ! C’est peut etre le moment de tester le boul du toubab ! Eugène, tu dois être le premier c’est toi qui a trouver cette salope. » Eugène sourit et fit un signe de la tête disant qu’il était d’accord. Je sentis la peur montée en moi avec l’envie. J’avais jamais eu de si grosses queues. Je savais pas ce qu’il allait arrivé. Eugène alla chercher un paquet de préservatif dans son pantalon et il en donna à tous les mecs. Il s’en mis un sur la queue et cracha sur mon trou. Il etala sa salive avec son doigt. Mon trou mouillait déjà un peu de lui-même. Il commença à me faire rentré un doigt, puis deux, puis trois . « Putain, on rentre comme dans un pot de crème dans son boul, faut vraiment que je teste ça tout de suite. C’est vraiment pas un mec ça, c’est une vrai meuf, comme tous les blondinettes du nord ! » Il se redressa, me fit me mettre à quatre pattes et il m’enfourna son sexe dans le cul. Une énorme douleur me fit faire un semblant de cri, éssoufflé par la teub de Joseph dans ma bouche. Puis avec ses vas et viens, la douleur devint une chaleur, un plaisir immense. Il me défonçait comme un chien défonce sa femelle. « Putain qu’elle est bonne la blondinette, une vrai salope, Hummmmm. Faut que vous essayez ça les mecs. » Les autres souriaient m’obligeant à sucer leur queue pendant que Jo me sautait comme une petasse. Puis il éjacula dans la capote et se retira. Un autre pris sa place, puis un autre et ainsi de suite jusqu’au matin. Ils me laissaient épuiser sur le sol. Je me trainais jusqu’au lit et je rêvais une heure. Le lendemain mes parents ne comprenaient pas pourquoi je ne faisais que rêver sur la plage. Et se fut pareil les jours suivant pendant les deux semaines de vacances. Je me suis fait prendre par les quatre mêmes mecs dans ma suite qui est devenue « la suite du vide-couille toubab ». Je n’ai vraiment pas regretté mes vacances.