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La petasse de banlieu -1
Histoire gay publiée le 14/09/2021
Avertissement : l’histoire qui suit est une pure fiction et n’encourage pas les pratiques sexuelles à risque. En tout état de cause protégez-vous. LA PETASSE DE BANLIEUE – Partie 1 : Débuts J’ai 35 ans, blanc, grand, mince, plutôt discret et légèrement efféminé. Depuis toujours je fantasme sur les mecs de banlieue et surtout les blacks. D’ailleurs, dès que j’en ai l’occasion, sur les applis ou ailleurs, je prends contact avec les blacks ou les métis en priorité. Je les kiffe particulièrement, sans jamais savoir d’où me venait cette attirance profonde et particulière. Mais il me manquait quelque chose. Cela faisait un certain temps maintenant, au gré des quelques plans que j’avais eu l’occasion de faire, que j’avais découvert mon côté soumis, soumise même. J’avais ce fantasme de devenir la petasse d’un beau black de banlieue. Je pensais que cela resterait pour toujours un fantasme, quand un jour, sur une appli de rencontre ma chance tourna (si l’on puis dire). Comme à mon habitude, alors que je m’activais un soir sur mon téléphone, je laissais en priorité un « bonjour » ou un « salut » à tous les jeune hommeils correspondants à des blacks ou à des métis. La plupart du temps c’était sans espoir, je ne recevais même pas de réponse ou alors certains étaient escortes et voulaient bien contre généreuse rémunération (mais ce n’était pas mon délire). J’avais notamment laissé un « salut » sur le profil d’un jeune black de 23 ans où il n’y avait qu’une photo des jambes avec un jogging et des Nike au pied. Quelques minutes plus tard je recevais une réponse : - Wesh, t’as des photos ? - Oui qu’est que tu veux voir ? - Toi en entier, à poil, ton visage et ton cul ! Je gardais toujours ça sous la main et m’exécutais. - Waouh t’as l’air d’être une bonne salope toi ?! - Merci, ahah. J’essaie. Il m’envoya plusieurs photo de son visage, de son torse, de sa bite. Une vraie bombe, fin, musclé, un visage avec un sourire ravageur. - Tu es canon ! - Ahah wesh. Et tu cherches ? - Un mec câlin et dominateur pour faire de moi une bonne petasse. - Je vois. T’es bien tombé avec moi, je suis câlin bourrin. - Ah… Oui mais moi je suis serré et ça fait longtemps que je me suis pas fait baiser. Surtout que je vois sur les photos que tu as une très grosse bite. - Wesh, 21 cm ! T’inquiète ma belle je sais y faire, ça va rentrer tranquille fait moi confiance. - J’aime quand tu me dis « ma belle ». - Ouais je vois le genre de soumise que t’es, on va bien s’amuser tous les deux. Viens ce soir, tu le regretteras pas ! Il me donna l’adresse de son quartier, je m’y rendis en RER. J’avais prévu des capotes et du lubrifiant. Il m’attendait sur le quai. Il était encore plus beau en vrai qu’en photo, il était en tenue de foot avec un maillot, un short et des crampons. - Je reviens du foot, ça dérange pas ? - Non, ça va… - Tu kiffes les mâles avec les odeurs. - C’est vrai que ça m’excite un peu… - Mmmh, j’en étais sûr. Après 5 min, nous étions rendu au pied de l’immeuble et nous montâmes à son appartement. - Alors comme ça tu veux être une bonne petasse ? - Oui… - Sois pas timide comme ça, regarde moi dans les yeux et dis-le. - Je veux être une bonne petasse. - Non, tu dois dire : je veux être une bonne petasse, Monsieur ! - Je veux être une bonne petasse, Monsieur. - Voilà, c’est bien… Mets-toi à poil ! Je m’exécutais. - Putain t’es bonne, bien épilée partout comme j’aime, toute douce. Cela me fit rougir un peu. Il s’assit sur son canapé descendit son short, il était déjà raide. Sa bite faisait effectivement 21 cm, pas extrêmement large à mon grand soulagement. Vas-y mets-toi à genoux et suce, fais-toi plaisir ! - Je ne pense pas que je pourrai la prendre en entier. - Chut… Suce je te dis. Fais-moi voir comment tu te débrouilles. Je m’exécutais et tâchais de lui donner tout de même de bonnes sensations en activant ma langue sur son gland principalement. Apparemment, il avait l’air d’aimer d’après les encouragements et les râles de mâle qu’il prononçait. Je léchais sa belle bite abondamment, je reniflais bien son entre jambe et prenais ses couilles dans ma bouche tant que je pouvais. Elles avaient l’air bien lourdes… - Putain tu suces bien ma belle… - C’est vrai ? - Ah ouais, franchement, y a rien à dire. Même si tu sais pas faire de gorge profonde tu te défends pas mal. - Merci… - T’avales ? - Je le faisais avec mon ex. - C’est bien. Une petasse ça avale ! Donc tu devras le faire avec moi aussi, ok ? - Oui, Monsieur… - Ahah c’est bien je vois que tu apprends vite, je sens que tu vas progresser rapidement. - Par contre je prends pas sans capote. - T’inquiète je vais pas te faire de mal ma belle. Viens on va dans la chambre, c’est moi qui vais te faire du bien maintenant. J’attrapais mon sac au passage et en arrivant dans la chambre je sortais le lubrifiant et les capotes. - Tu prends du poppers la petasse ? - J’ai déjà essayé… - Avec moi faudra en prendre, pour bien t’ouvrir tu vois. - Oui, bien sûr. Il me donna un flacon. - Mets-toi à quatre pattes, montre moi comment tu te cambres. Ouais, c’est pas mal. Sniffe un peu de poppers, ça va te détendre. La tête me tourna un peu et il le vit. - Ahah, c’est le plus fort. T’inquiète tu vas t’y faire. Je veux qu’à chaque fois que je te mets une claque sur les fesses tu sniffes un bon coup, t’as compris ? - Oui, Monsieur. - C’est bien... Il s’était maintenant entièrement déshabillé et s’activa à me lécher le cul. Non, que dis-je, à me le bouffer littéralement. C’était le paradis, je gémissais de bonheur. J’étais tellement content d’être là et d’avoir trouvé un beau black comme j’aime qui me faisait du bien. De temps à autre il me claquait les fesses, c’était le signal du poppers. Et je m’enfonçait de plus en plus dans l’extase. Au bout de longues minutes il parvenait à rentrer sa langue dans mon trou. Il crachait dessus, me traitait de petasse, me disait à quel point il allait bien me baiser. Puis il attrapa la bouteille de lubrifiant à base de silicone que j’avais apportée. Il en mit un peu sur mon trou et se lubrifia la bite. Il commença à me caresser tendrement le trou avec. - Tu la veux cette bite dans ta chatte de petasse ? - Oh oui, Monsieur. Mets une capote et prends-moi. - D’abord il faut que je t’ouvre. Tu m’excites trop salope, je te la glisse un peu sans capote et après quand tu seras bien ouverte j’en mets une et je te baise hard, ok. - Attends… Non, je… je sais pas. Il continuait de me caresser le trou avec sa bite tendrement. - Allez ma belle, t’inquiète, juste un peu pour t’ouvrir, tu vas voir tu vas kiffer. Tu la veux ou pas ma bite. - Oui je la veux !… - Alors laisse-toi faire. Je vais y aller tout doucement, je vais pas te faire mal. Tu me fais confiance ? - Ou… oui. D’accord. - C’est bien. Il me glissa sa longue bite de 21 cm presque sans difficulté. - Aaaaah. - Voilà ma belle, je suis dedans. Je vais attendre un peu que tu t’y fasses. Elle est comment ma bite dis-moi ? - Elle est douce… - Ahah, tout le monde me le dit. - Elle est chaude… - Ah ouais. Ta chatte aussi est bien chaude je kiffe. On va jouer à un jeu ma belle. Tu aimes jouer ? - Euh… Ok. - Je vais te mettre 30 coups de bites sans capote pour bien te dilater. Après je sors et j’en mets une ok ? - Ok. - Par contre je veux t’entendre compter. Faut que t’arrives à 30. Allez on y va. - 1… 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12… Fatalement il se mit à accélérer, je perdis le compte et me mis à gémir. Il s’arrêta un instant. - Qu’est-ce que tu fais ? Compte je t’ai dis ! Vas-y recommence au début. - 1… 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15… 15… - Non, ma belle tu t’es trompé. Recommence. - 1… 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9… Ah ! Aaaah ! - Putain tu trembles partout, tu jouis de la chatte déjà ? Il ne s’arrêta pas de me pénétrer cette fois-ci. - Allez ma belle, je sais que tu peux le faire, vas-y, recommence ! - 1… 2… 1… - Alors t’abandonne, hein ? C’est trop bon pour toi, avoue ? ! - Ooooh. Salop… - Nan, nan, inverse pas les rôles. C’est toi la salope. T’es venue en banlieue pour faire la petasse ! Dis-le ! - Ooooh… Je suis venue en banlieue pour faire la petasse, Monsieur… - Voilà… C’est bien. T’aime te faire baiser sans capote hein ? Dis-le. - J’aime me faire baiser sans capote… - Plus fort. - J’aime me faire baiser sans capote, Monsieur ! - Parfait… Mets-toi sur le dos. Maintenant que t’es bien ouverte je vais te niquer comme il se doit. Je me mis sur le dos et il me baisa longuement. Gentiment puis de plus en plus fort. Il agrémenta le tout de bonne insultes, me cracha dans la bouche, me roula des pelles bien chaudes… Il me fit jouir du cul plusieurs fois. Je sentais qu’il se tendait de plus en plus, il était en sueur, son odeur de mâle m’excitait grave. Il s’approcha de mon oreille pour me murmurer la suite logique. - Je vais faire de toi une VRAIE petasse aujourd’hui, tu sais ce que ça veut dire ? - Tu… tu vas jouir dans ma chatte ?… - Eh ouais ma belle. Ne mens pas t’en meurs d’envie, je le vois dans tes yeux, alors réclame ta dose, te fais pas prier ! - Je… je veux que tu jouisses en moi… - Mieux que ça ! - Je veux que tu jouisses dans ma chatte de petasse, Monsieur ! - Ouais… C’est bien ça ! T’inquiètes, je suis un gros juteur et en plus j’ai les couilles bien pleines là. Tu vas pas être déçue petite salope ! Il m’agrippa fermement et planta sa grosse bite bien à fond avant de décharger huit ou neuf jets brulants en poussant des râles. J’étais tétanisé. Il resta en moi encore un moment à faire des va-et-vient et à m’embrasser tendrement. Il se retira et je commençai à expulser son foutre de manière incontrôlée. Il me rassura et me dit de ne pas m’en faire, que c’était excitant à regarder. Il s’allongea à mes côté et me prit dans ses bras. - Alors bébé tu as kiffé ou quoi ? - Oui, Monsieur… - Ahah. En tout cas t’avais pas menti, t’es grave motivée pour devenir une petasse toi. - J’étais bien… - Ah ouais, grave. Et t’inquiète tu vas revenir. J’ai des projets pour toi. T’as pas idée...