Histoires de sexe

Salut les mecs, je reviens pour vous raconter d’autres histoires qui datent de mes 18 ans. Vous avez deja peut-etre lu mes premiers plan avec Alain, mon master renoi de 46 ans et notamment celle avec ses potes. Quelques mois apres ce plan ou j’ai servi de vide couilles a ces 5 daddy africains, je marche dans Paris pour aller en cours. Et là, un africain me stoppe dans la rue. « Salut A. Ça va? » Je tilte pas. « On se connait? » Il a un sourire. « Oh oui, on s’est rencontré chez Alain. Tu sais pour feter son contrat… » La je me rememore. Oui, c’etait un de mes maitres ce soir là. « Ça va? Tu fais quoi là? » Je lui reponds « Bah ça va, je vais en cours là. » « Ah? Tu as cours de quoi? » « Commerce international » « Oh ça doit etre bien, mais tu as pas envie de faire plutot de la biologie? Je suis un bon prof » Il me repond avec un sourire pervers qui m’excite direct. Il est grand, sans doute 1m90, pas maigre, avec un petit peu de graisse, mais muscle quand meme. Une peau noire chocolat, le crane rasé, une petite barbe de 3 jours. J’ai su apres qu’il avait 52 ans. Il etait en costume cravate, apparement entre deux rendez-vous d’affaire. « Je sais pas trop… » « Allez! Tu habites loin? » « Non a deux minutes » « Allez vite fait. » « Ok » On fait demi-tour vers mon petit appart etudiant. « Au fait moi c’est Leonard » « Enchanté » « J’adore tes cheveux mi-long legerement bouclés » « Merci » On arrive a la résidence. On monte dans mon petit « appart » de 9 m2. Il me regarde avec un sourire. « Ah ouai le vrai petit etudiant avec sa chambre de bonne quoi » « Eh oui… pas facile » Il me sourit avec un vrai air pervers. « Tu sais que ça m’excite ça? Une petite petasse etudiante blanche. Allez fout toi a poil Salope! » Le ton etait direct, viril et sans appel. Je me met nu. Il matte quand je me deshabille et va s’asseoir sur mon petit lit une place. Il degrafe son pantalon. « Viens sucer a genoux petit esclave » Je me met a genoux et ma tete disparait entre ses cuisses. Je gobe direct cette belle bite ebene et deja dressée. Il a un sursaut de plaisir et gemis. Ça a un gout de male en rut, de foutre seché. Sa main se pose assez vite derriere ma tete et impose un mouvement de vas et viens. Je m’arrete seulement pour bouffer ou lecher ses belles couilles avant de reprendre ma pipe. Il grogne, gemis et balance des insultes. « Sale perite petasse blanche » « Salope de babtou » Et a un moment il me redresse la tete. « Arrete ou tu vas me faire juter avec tes levres de suceuse, a 4 pattes sur ton lit de petit etudiant soumis! » Je monte sur le lit, et je me met en position de saillie. Il va me prendre comme sa chienne en chaleur. Il me doigte, leche le cul, crache dessus. Et il se place, le pantalon au niveau des genoux, sa chemise ouverte. Je sens sa cravate sur mon cul. Puis je sens une main sur la hanche gauche. Il guide avec son autre main sa bite vers mon trou etil s’enfonce en moi. Il place sa main droite sur mon epaule et il commence ses vas et viens. A chaque coup de rein je gemis plus fort. Ça l’excite. « Ça fait quoi de baiser un petit jeune qui doit avoir moins de la moitie de ton age? » Je le provoque. Sa reponse est directe dans mes fesses. Il me donne de gros coup de reins de plus en plus brutaux et rapide. « Ta gueule sale petasse, tu encaisses et tu assumes ton role de sous-race a sperme! » Il me defonce comme une bete en rage. Meme moi qui suis endurant je commence q fatiguer. Et soudain une chaleur dans mon petit cul tendu… il vient de me feconder comme sa femelle. Il se retire. Il s’assied sur le lit. En bonne salope je viens nettoyer le sperme avec ma bouche. « Bien Salope… je t’airais bien remis un coup… » Je releve la tete, la bouche pleine de foutre. « Je pense que je peux secher le cours… j’ai deja louper un grand moment » Il prend son telephone. « Allo, oui monsieur R., je me demande si on peux repousser notre rendez-vous? » Sa main se pose sur ma tete et me puissance a continuer a sucer. « Demain 13:00? Tres bien. Desole mais j’ai un empechement important » Je fait un bruit de succion bruyant, il m’enfonce sa bite en fond de gorge. « Tres bien a demain » Il raccroche et sa bite redevient dure comme de l’acier. « Tu vas encaisser toute la journee petite petasse » A suivre