Histoires de sexe

Un an environ avant la pandémie, j’étais un petit étudiant en école de commerce en province. Au moment de cette histoire j’avais 22 ans et je sortais d’une relation magnifique avec un africain de mon âge, un vrai dominateur dans la vie et au lit. Malheureusement il avait fini ses études et était reparti vers son pays d’origine, le Mali. Un peu perdu, je dois tout de même trouver un stage d’un an pour mon année de césure. Je trouve un job dans une petite entreprise au service marketing. Pour ceux qui connaissent cette période des « stages », ça veut dire plutôt « exploitation de main d’oeuvre pas chère » . Je me retrouve a faire des heures supp (non payées bien sur) et a finir seul dans les bureaux à des heures pas possible. Et chaque soir, il y a l’homme de ménage, un bel athlète noir, qui fait les bureaux. Depuis le premier soir d’heure supp, il me regarde bizarrement, comme si il essayait de se rappeler quelque chose. Je pose innocemment la question à un collègue sur le ménage en général. Il répond avec un peu de fierté: « Oui, Moussa est un malien qui sort de prison. On a un programme de réinsertion des jeunes délinquants, et puis il y a une subvention. » « Il était en prison pour quoi? » « Je pense un truc avec la remontant… t’inquiètes il va pas t’égorger ou voler des trucs ! » dit-il en riant. Plusieurs soir passe et un soir alors que je suis tout seul dans l’open space, peut etre même dans le building, je le vois qui vient vers moi. Je me concentre sur le fichier excel que je traite. Mais mon regard ne peut pas s’empêcher de regarder ce beau mec. Il fait 2m, je dirais 100-110 kilos, une sorte de Teddy Riner en plus foncé, rasé. Il est habillé avec l’uniforme de la boite de nettoyage. Il vient direct a mon desk. Il me parle avec une voix très grave et virile: « Salut tarba, je me demandais trop ou je t’avais vu, mais je sais maintenant, tu t’appelles Julien c’est ça? » « Euh… oui on se connait? » « Non mais tu connais bien mon pote, Ibra, tu vois de qui je parle? » J’ai un flash de lucidité… mon ex, le malien… « Ah oui, c’est un pote de mon école. » Il rigole: « Un pote de ton école tarba? Mouai quand tu lui suçais la bite ou qu’il te tassait le cul c’était qu’un pote petite petasse? » Je deviens tout rouge. Cela se voit trop sur mon visage assez clair quand je rougis et ça fait ressortir mes yeux bleus et mes cheveux courts blonds. « Dans ce cas t’inquiètes salope, si tu veux je peux être un pote du boulot. » Je commence a rassembler mes affaires pour partir. « Tu vas où salope, j’ai trop envie de te ken » « C’est pas une bonne idée… » « Ce qui serait pas une bonne idée c’est que les tofs qu’Ibra m’a envoyées soit oubliées sur un bureau ce soir » Je me fige. « Quoi quelles photos? » Il sort son tel et me montre des photos de moi entrain de sucer ou de me faire prendre par mon ex… « Celles la tarba, aller tu en rêves en plus. Je sais que t’es un vrai gourmand au lit. » « Juste une pipe vite fait ça te va? » Il fait un grand sourire: « Vas y viens me pepom! » Je me met a genoux et il ouvre son uniforme, il baisse son boxer et sa queue jaillit déjà dure. Je commence a sucer timidement son gland. Il est bon, un vrai gout d’africain en rut. Un mélange de foutre, de precum, de pisse et de transpi salée. J’y prend gout et je me met a le sucé bien langoureusement et profondément. « Enlève ta cravate sale petasse et donne la moi. » Je la retire et lui tend tout en suçant. Il gémit: « Mmm il m’avait dit que tu kiffais sucé et que t’étais un pro… il a pas menti! » Il me repousse. « Mains dans le dos » « Mais… » « Ta gueule sale batard fait ce que je dis! » Je mets les mains dans le dos. Il me les attache avec ma cravate. « Voila comme ça tu es vraiment ma petasse! » Il se replace devant moi et je reprend ma pipe, aide de sa main qui impose le rythme. Il y a des pauses ou il me laisse lécher son gland et ses belles couilles imberbes. Il gémit, il grogne, et après un moment il appuie ma tête fortement contre lui, enfonçant sa bite a fond de gorge dans un grand rale. Je sens des jets de foutre chaud dans ma gorge. « Mmmmm ouiiiiii, putain c’est bon salooooope! » Il se retire et je reprend ma respiration. « Wow tu es une vraie suceuse, attends je vais te chercher un truc pour essuyer la bouche. » Il me laisse comme ça, a genoux dans l’open space, attaché, la gueule dégoulinante de son sperme. Il revient après 2 minutes. Il a un boxer dans la main, le sien en fait je le reconnais. Il a été l’enlever plus loin… Il revient donc et commence a essuyer mes lèvres et mon cou. « Ouvre la bouche un peu que je nettoie la langue. » J’ouvre la bouche et là, au lieu d’essuyer il me l’enfonce dedans, bloquant mes possibilité de parler ou crier. Je fais des yeux surpris. « Tu croyais quand même pas qu’avec un boul comme ça a dispo j’allais me contenter d’une pipe. Ibra m’a trop vanter ton trou. » Je veux m’éloigner mais il me saisi, me soulève et me plaque face contre le bureau. Il descend d’une main mon pantalon et mon boxer et touche mon cul maintenant exposé. Il glisse sa main, met des fessés et met des doigts. « Putain on doit se sentir bien la dedans sale petit blanc! » Il me saisit par les hanches et frotte sa bite a nouveau dure entre mes fesses. J’ai trop envie en fait qu’il me la mette. Je gémis. « Tu la veux, hein petite petasse! Tu kiffs ça te faire peter le cul par des africains hein?! » Il s’enfonce doucement en moi. « Puuuuutain t’es ouvert toi. Ibra a du bien te loper! » Il commence son va et viens. La situation est trop excitante, moi le stagiaire, je me fais défoncer par l’homme de ménage sur mon bureau, ligoter avec ma cravate et bâillonner avec son caleçon! Il me prend de plus en plus fort et de plus en plus vite. Il ponctue ses coups de bite avec des fessées. Il rale de plaisir. Et après un moment, il se retire et jute sur mon cul offert. « Hum c’était le pied…. » Il me détache les mains. Je me relève tremblant de plaisir, j’ai jouis du cul et sur le bureau sans me toucher. Je retire son caleçon de ma bouche. Il rigole en voyant ma tête rouge de plaisir, mon sperme sur le bureau. « Toi aussi tu as kiffer! » Et il me roule une grosse pelle, et on s’embrasse un bon moment. C’est moi qui romps le moment: « C’était que pour un coup ou…? » Il sourit: « Coquine, je pense qu’on va se revoir si tu veux! » Je lui roule une pelle et je descend sucer le reste de jus qui dégouline de sa queue qui débande. Avec un petit sourire je réponds: « Oui je veux bien… » On est toujours ensemble avec Moussa. On a eut plein d’aventures ;) a suivre