Histoires de sexe

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Les refugiés Soudanais
Histoire gay publiée le 17/12/2021
Wesh les mecs j’ai une histoire qui remonte a un moment. Quand j’etais jeune, j’etais un ado rebelle, a fumé, a partir un moment de la maison. Rien de mal dans ma vie de famille, plutot riche, des parents cool… mais j’etais en rebellion avec le monde. Je « fuguais » souvent pour quelques jours, je squattais dans des endroits avec d’autre comme moi. On se ressemblait tous, baggy taille basse, cheveux longs, tee-shirt. Des jeune homme de bobos en mal de revoltes. Perso j’etais imberbe et aux cheveux longs, blond assez pale. Un soir, je me retrouve dans un appart squatté par 6 gars, dont deux africains à l’ecart des autres. Deux gars tres sombres, en short, claquette, tee-shirt, un au cheveux courts et un avec des dreads. Ils fumaient à l’ecart. Je viens les voir. Ils sont clandestins, deux Soudanais refugiés. Ils squattent ici en attendant. Ils me proposent de la beuh. Ok pas de soucis. On va dans la piece tout au bout du couloir oü ils crechent. Ils ferment la porte. Sur le sol deux matelas et leurs affaires. Ils sortent des joints et on commence a fumer au calme. On parle. Ils parlent tres mal français mais on se comprend. Il fait chaud en cette nuit d’été. Un des deux, celui aux cheveux courts, retire son tee shirt. Il est maigre mais musclé, un corps de manequin. Je matte un peu. Il s’en rends compte. « Toi regarder moi? Tu gay? » « Non je suis Bi, je fais les deux » L’autre reprend en anglais : « On a les couilles pleines, pour nous les blancs c’est comme des jeunes femmes donc ça te dit de nous sucer? » Ils sont bandants. « Ok. » Les deux baissent leur short et leur boxer et se mettent cote a cote. Je me penche sur eux et je commence a sucer le premier. Le second, aux dread, me prends par les cheveux , me tire vers lui et enfonce sa bite odorante dans ma bouche: « Moi en premier salope! » Je sens sa queue me ravager les levres et le fond de gorge, il gemit de plaisir. L’autre prend ma main et la pose sur sa belle teub. Je commence a le branler doucement. Les deux ont le souffle qui s’accelere. Ils kiffent trop. Celui que je branle dit : « Aller arrete! file moi la bouche de la petasse! » Le dreadlock retire sa main de ma nuque et je plonge sur la bite de l’autre et je la gobe directe. « Elle aime ça sale petasse ! » Je branle le deuxieme. Il se redresse et commence a baisser mon baggy et mon caleçon pour degager mon cul bombé. Alors que je veux me retourner pour lui dire que c’est pas ce qu’on a dit, celui que je suce me maintien sur sa bite, ant mes paroles. Le gars aux dreadlocks se leve et passe derriere moi. Il commence par bien degager mon cul, enlevant tout le bas, je me retrouve en tee-shirt. Puis il me bouffe le cul. Je gemis alors que son pote me laboure la bouche. Sa langue fouille mon petit trou, c’est trop bon. Mes gemissements sur sa bite excite le premier qui se cambre alors qu’un jet enorme rempli ma bouche. « Ahhhhh trop bon!!! » Il continue son mouvement jusqu’au dernier jet. « Putain tu as deja jouis? » « Bah il a vraiment une putain de bouche de salope! » « Ok pas grave, fait le taire » Le premier me puissance sa main sur la bouche encore pleine de jus et je sens une grosse douleur dans mon trou. Le gars a dreadlock venait de me penetrer direct, sans menagement. Il me saisit par les hanches et commence a me bourrer le cul comme un gars qui sort de prison. Son pote essoufle mes cris avec sa main. Mon baiseur s’acharne un moment avant que je sente un liquide chaud couler entre mes fesses au milieu d’ondes de plaisir intense. Je m’ecroule sur le matelas, epuisé. Nu comme un ver. Les jambes bien ecartées laissent mon cul bombé et ouvert. Il en faut pas plus pour que le deuxieme de mette nu aussi et monte sur moi. Sans que je puisse reagir, il introduit sa bite en moi et commence lui ausdi a me tringler comme une salope. Je gemis, je gemis fort. Le dreadlock met a son tour sa main sur ma bouche pour essoufler les cris. « Baise bien cette petasse! » Le second amplifie ses mouvements de reins et on entends bien ses couilles claquer sur mon cul. Mes gemissements de plaisirs s’entendent meme avec la main sur la bouche. Au bout de quelques minutes, on se rends tous les 3 compte que la porte est ouverte et les 4 autres blancs regarde estomaqués la scene. Ils finissent par dire: « les gars on se casse je reste pas avec ces pd. » Et ils se barrent, me laissant seuls avec les deux soudanais. Celui qui me prenait fini par juter aussi. « Putain t’es bonne! Dommage pour toi les autres sont parti.. on va te piner toute la nuit sans limites mnt! » Et ils ont tenu leur parole… j’ai pris tellement de fois que j’etais poisseux de foutre de la tete au pied. Je puais la sueur et le sperme. J’ai meme eu le droit a une double pene sur le sofa du salon abandonne. Ils sont parti au petit matin en me disant qu’au pays j’aurais ete un vrai esclave sexuel.