Histoires de sexe

Hello les mecs. Je suis Charly, 19 ans, 1m70, brun, de belles joues aussi charnues que mon boul, une belle bouche a bite et des yeux bleus. Cette histoire date de la fin de mon adolescence. J’ai la chance d’avoir une famille plutôt aisée et africaniste. Mes parents adorent l’Afrique et on passe quelques vacances la-bas. Et moi j’adore me faire découvrir par des africains. Ce que je vais vous raconter est un des plans les plus chauds que j’ai fait, surtout en termes de risques. J’apprends que pour cet été là, mes parents veulent visiter l’Ouganda. C’est un joli pays des grands lacs. Je commence direct sur un site de rencontre gay a regarder les gars là-bas. A chaque voyage je trouve tous les prétextes pour me faire tringler par des locaux sans que mes parents le sachent. Je discute avec un mec, il m’envoi ses photos. Le mec canon, 25-30 ans, musclé, militaire apparemment donc bien entrainé, d’un noir de nuit, et une queue magnifique. Je lui dit que je viens dans quelques jours et lui envoi mes photos. Il me répond direct : « Toi je te baise à l’aéroport direct! » Je lui réponds que ça va être dur de faire ça direct sachant que je serais avec mes parents. Il me dit: « Tu arrives bien a Kampala-Entebbe? » « Oui » « Donne l’heure et l’avion » « Pourquoi? » « Je suis border guard dans cet aéroport, donc si tu veux couiner direct je peux m’arranger, tu as what’s app je t’appelle? » Je lui file mon numero. Il me dit que si je veux me faire une bonne baise il peut s’arranger pour être à la douane a ce moment et m’emmener pour une « fouille » aléatoire. Comme ça ça alertera pas mes parents. Mais il me dit que ça serait plus credible si il me fouille avec un collègue. « En gros tu veux me prendre avec ton pote? » « Ouai… » « Pas de soucis » « Wow t’es vraiment en chaleur! » On arrange notre histoire et lorsqu’on atterrit mon coeur bat trop vite, c’est risque, surtout dans un pays assez intolerant comme l’Ouganda. J’ai quelques hesitations. On arrive à la Douane. Il y a 6 gars en uniformes militaires. Je reconnais le gars. Il pousse du coude un autre mec aussi canon que lui. Ils me regardent avec un sourire. Ils viennent nous contrôler. Au bout de 4 minutes, après avoir demander nos passeports, le mec dit à mon Homme mur: ok tout semble ok mais on doit faire un contrôle aléatoire avec votre jeune homme, pas plus d’une heure ne vous inquiétez pas. Mon Homme mur et ma Mamy proteste mais le gars est clair voir autoritaire. Je tremble à la fois de peur et d’excitation. Mon Homme mur cede et les deux gars me prennent par les bras et me conduise hors de leur vue. Ils sourient tous les deux avec un regard pervers. Ils sont trop beaux et excitants. Je mouille deja du cul. L’aéroport est semi-moderne mais comme d’habitude en Afrique c’est le bordel. Hors de vue, ils me chuchotent: « C’est toi le petit français qui veut se faire défoncer son petit cul blanc? » Je réponds gene: « Oui … » « Ok moi c’est Aziz (mon interlocuteur sur le site) et lui Amin, mais pour toi c’est Lieutenant et Capitaine, ok? » « Oui Lieutenant! » « Tu comprends vite. » Ils m’emmènent dans une vraie salle d’interrogatoire un peu vétuste. Il y a 3 chaises et une table. La lumière du jour passe a travers une fenêtre grillagée mais un vieux neon qui saute parfois allume la piece. Aziz ferme la porte. « On a pas beaucoup de temps… Amin… » Amin fait un signe entendu et me plaque face contre la table et me menotte les mains dans le dos. Puis il me redresse et me fait mettre a genoux. « Tu voulais de la bonne bite d’africains? N’est-ce pas petite petasse blanche? » Je suis trop excité. « Oui Lieutenant! » « Tu t’es cru avec des esclaves sexuels africains? Mais c’est toi l’esclave ! » « Oui Lieutenant.., » Ils se mettent face a moi et Aziz me prend par la nuque. Il me fourre la face sur son pantalon et frotte contre son entre-cuisse. Je sens une grosse barre dure, il fait la meme avec Amin et je sens la meme chose. « Tu m’as filer la trique des que j’ai vu tes photos. Ta bouche de petasse mais surtout ton petit trou d’européen! » Il glisse la main dans son treillis et sort une magnifique bite circoncise, et il me l’enfonce directe dans la bouche. Amin sort aussi une magnifique bite. Je dois sucer alternativement les deux belles bites qui me encouragent la bouche et qui me pilonne la gorge. Ils ont l’air de kiffer car ils gémissent tous les deux comme des boeufs. Puis Aziz dit au milieux de ses grognements de plaisir: « Il est peut être temps de gouter son cul. » Ils me prennent sous les aisselles et me relèvent. Il me remettent face contre la table, plié en avant. Amin maintien mon torse sur la table et Aziz baisse et me retire le pantalon, le boxer. Je suis sans le bas, juste mes converses, les mains toujours attachées. « Tu y vas en premier Amin? » « Mmm si tu veux, je vais le prendre comme ça! » « Ouai je sais que tu kiffes en levrette. » Amin se place derrière moi, enfile une capote et me pénètre direct. Je hurle de douleur. « Bah alors sale petasse? On supporte pas? » Il remet un gros coup de rein, la douleur est moins forte mais encore la. « Dis moi de te baiser sale petasse! » « Baise moi Capitaine! » Il remet un grand coup de rein, puis un autre et encore, il commence a me pilonner le cul. Aziz nous regarde d’abord, puis il vient caler sa belle bite dans ma bouche pour atténuer les cris. Je me fais démonter severe par Amin un bon quart d’heure avant que je sente qu’il accélère en multipliant les insultes, signe d’une bonne monte de sève. Il met un dernier coup de rein qui fini en grognement satisfait. Il se retire. « A toi » « On va le bouger. » Amin et Aziz me mettent sur le dos sur la table. Amin retire sa capote et Aziz me place les deux jambes sur ses épaules. Il a retirer son haut, ce qui laisse voir ses pecs et ses abdos. Il a une chaine en or avec une médaille. Par contre il a garder son beret de militaire. Il place sa bite encapuchonnée devant mon petit trou ouvert par son pote. « Alors tu aime l’Ouganda salope? » « Oui Lieutenant! » « Tu veux que je te prenne comme on le fait a nos esclaves? » « Oui Lieutenant! » Il s’enfonce en moi, sa bite est chaude et douce. Il commence direct des vas et vient puissants et profonds. Je gémis comme une femelle direct. Amin me met sa queue debandante, pleine de foutre, sure les lèvres. Je la suce un peu et puis Aziz dit: « Regarde moi quand je te baise sale blanc! » Il me prend par l’épaule. Je plonge mon regard dans son regard noir. Il kiffe me baiser. « Vous aimez Lieutenant? » « Ta gueule, tu es là pour encaisser, pour une fois que je peux baiser une jeune petasse! » Il transpire, gémis, grogne, m’insulte. Et il accélère aussi. Ses couilles claquent tellement sur mon cul que on entends un gros bruit de fessées. Il se retire brusquement, retire la capote et me fait mettre a genoux. Il cale sa bite dans ma bouche rudement et jute direct en bouche. Il me lache pas la tete tant que j’ai pas du avaler. Il se retire. Les deux rigolent. « Putain c’est vraiment bon le cul de blanc, et jeune… » « Ouai je baiserais bien encore… » « Pas le temps… tu reve où Salope! » « A l’hote, Capitainel » « Ça je me doute esclave mais lequel? » Je lui donne le nom. « Ok tu as le WA du Lieutenant, tu arrives, tu as ton numero de chambre et tu envois. Et a 22:00 tu es dans ta chambre ok? » « Oui Capitaine. » « Ok rhabille toi! » Je me rhabille et ils me ramènent a mes parents. Ils disent que le contrôle s’est tres bien passé et qu’ils doivent être fier de moi.. ben voyons.