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Encaisse salope !
Histoire gay publiée le 08/03/2022
Hello les mecs. J’ai une histoire pour vous. Lorsque j’avais 18 ans, apres un depucelage assez tot dans mon adolescence, j’etais en « relation suivie » avec un beau renoi d’une 40aine d’année. A cette epoque on vivait en expat au Congo, a Pointe-Noire. Ce mec etait assez friqué et avait une belle maison en bord de mer avec piscine etc. Roland bossait dans le petrole comme mon pere. Je venais souvent chez lui et je l’attendais pres de la piscine a bronzer en maillot. Lorsqu’il arrivait je finissais immanquablement à 4 pattes dans la chambre a me faire prendre. Ce jour là je me pointe comme d’habitude. Je rentre car le gardien me connais (meme s’il ne sait pas ce que je fais dans le lit avec Roland, pour lui je suis un ami de la famille). Je vais vers la piscine et une voix m’interrompt. Il y a un bel africain, la 40aine aussi, allongé dans un des transats de la piscine. « T’es qui toi et qu’est-ce que tu fais là? » Je suis surpris, je bafouille vite fait: « Je suis un ami de la famille de Roland, je squatte juste la piscine » La réponse à l’air de le contenter, j’enleve donc mon tee-shirt et mon short et je descends dans la piscine pour donner l’illusion. Le mec me regarde a travers ses rayban. Il est en short de bain. Imberbe de ce que je vois, torse nu sur des pecs et de beaux abdos, noir cramé par le soleil. Sa chaine en argent autour du cou brille au soleil. J’ai l’impression qu’il me matte. Je ressors de l’eau, decide a partir. Avant que je me rhabille il dit: « Joli tatouage » Je rougis un peu, j’ai un tatouage au creux des reins. Il me fait signe de venir. Je m’approche. « Tu t’appelles comment? » « Arnaud » « Moi Henri. Dis Arnaud, si on arretait de se mentir? Hein? » « Comment ça? » « Roland a pas d’ami blanc, la famille non plus. Donc arrete de mentir, t’es sa petasse du moment, hein? » Je rougis, je sais pas où me mettre, je tente de dire que non mais il a l’air de savoir. « Arrete, il a parler de ton tatouage qui danse quand on t’encule. » Je rougis encore plus. « Viens la » Je m’approche du transat. Il sort sa bite direct et se met assis. « A genoux » Je me met a genoux. La situation m’excite en fait. « Suce » Son ordre etait direct. Je reprend mes habitude de salope a africain et je gobe sa belle bite tendue en entier. J’aspire toute sa queue. Sa main se pose sur mes cheveux et il tire et repousse, imprimant son rythme sur sa belle bite. Je suce en le regardant. Il kiffe. Il souffle, gemit legerement. Je m’interromps pour lecher ses couilles imberbes. « Mmmm oui comme ça Salope. » Je leche et le branle en meme temps. « Mmmm continue » Je reprends la queue en bouche. « T’aime ça sale race! Sucer des negros! » Je grogne mon approbation avec sa bite en bouche. Il se redresse. « Fait voir ce cul! » Je cambre et il serre le maillot au milieu comme un string, revelant la trace de bronzage. « Mmmm un bon cul blanc comme ça » Il me prend par les cheveux et retire rudement ma tete de sa bite. Il se leve et me retire avec rudesse le maillot alors que je suis a 4 pattes. Il me le met en bouche. « Mord ça, faut pas que le gardien entende quand tu vas encaisser » Il se positionne et me penetre direct. Mon cul est assez ouvert par les assaut incessant de Roland pour encaisser sans douleur. « Ouai! C’est bon ça! » Il commence direct a me marteler le cul en levrette. C’est tellement bon. Son aine frappe contre mon cul, ses couilles rebondissent contre les miennes. Il est tellement rude dans ses coups de bites que je me retrouve allongé sur la terrasse a encaisser. Meme le baillon suffit plus a calmer mes cris de jouissance. Sa main recouvre ma bouche. « Ferme la salope ou on va se faire chopper! Encaisse ! » Il accelere les vas et vients. « Tu aimes, hein sale chienne! Tu aime le bangala qui te fourre la chatte! T’es une esclave sexuelle pour africain, t’es la pour subir.. ahhhh! » A sa derniere phrase il jouit dans mon cul. Il reste un moment allongé sur moi. « T’es bonne petite petasse. Tu loges où je vais te tringler tous les jours?! » « Chez mes parents… » « Faut arranger ça… en attendant dit rien a Roland » Il se releve et se rhabille. Je remet le maillot. Roland arriva un peu apres, il nous presenta l’un a l’autre. On fir comme si rien n’etait arrive. Puis Roland dit a Henri, qui etait un pote de longue date, qu’il devait me montrer un truc. Henri prit conge avec un signe pour moi et Roland m’emmena dans la chambre pour me sauter.