Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Un beau mâle noir
Histoire gay publiée le 14/03/2022
Hello les mecs. J’ai lu quelques histoires et ça s’amuse bien a ce que je vois! Une histoire m’a rappelée une expérience que j’ai eu il y a 4 ans. Aujourd’hui j’ai 25 ans mais a l’époque tout juste 21. J’étais comme je suis maintenant: taille moyenne, cheveux très blonds, petite frimousse de garçon sage, yeux bleus, une musculature normal pour un corps imberbe. Je suis d’origine danoise mais je vivais avec mes parents dans le sud de la France. Je devais aller voir de la famille au pays et donc prendre deux avions, un pour Paris et un pour Copenhagen. Etant un petit twink toujours en chaleur, je me dis que les 5 heures de correspondances entre les deux avions pouvaient servir mon petit cul. Je me met a tchatter sur un site et un beau mâle noir, aux environs de Roissy me contact. Il a flasher sur ma gueule d’ange et il demande quand je viens sur Paris. Il a 30 ans mais il est canon, il doit avoir un travail assez physique. Je lui explique mon voyage et il me dit que c’est cool comme il travail à l’aéroport. Il me dit qu’entre les deux vols je dois changer de terminal , du 2 au 1. Entre les deux il y a le parking où il gare sa caisse, que se serait cool de se faire une pause baise. Je suis ok. Le vol atterrit depuis le Sud, je sors de la zone et je prend le RoissyVal. Je m’arrête au parking et je descends. Il y a du monde. Je l’appelle. Il me guide a travers le parking et je m’arrête a un endroit. Il n’y a personne à part un agent d’entretien en uniforme. Il s’approche de moi et d’une voix rauque avec un sourire il dit: « Tu cherches quelque chose? » Je lève les yeux, c’est lui. Il est grand, sans doute 1m95, fonce, musclé. Il a le crâne rasé, il semble imberbe aussi. Je souris: « Je crois que j’ai trouve » Il me fait signe de le suivre. Il me demande pourquoi je voyage au Danemark etc. Je lui explique. Il remarque mes vêtements ralph lauren, boss etc. Il demande ce que font mes parents. « Conseillers financiers. » « Ah oui, t’es un vrai bourge en fait. » Il me montre une petite voiture, assez vieille, une corsa. J’ai malgré moi un rictus. Il semble pas le noter. Il me dit de monter siège passager. Il rentre aussi. Très vite, il me roule une pelle, profonde, chaude. Une main me tient le cou, une autre trifouille son pantalon. Dès le baiser terminé, il me fait basculer en avant, la tête droit sur sa grosse queue circoncise qu’il venait de sortir. « Aller suce salope. » Mes lèvres n’hésitent pas et je prend en bouche son mamba noir. Je suce hardiment cette belle queue salée. « Les bourges c’est ceux qui sucent le mieux, tu kiffes ça sucer les bites des noirs hein? » Il me prends les cheveux et accélère le mouvement. Il me ramone la bouche un moment, en continuant ses commentaires. Il me dit de me déshabiller. C’est pas pratique et l’espace est réduit mais je me retrouve en chaussettes, nu, dans sa caisse. Lui est toujours habillé. Il abaisse le siège passager a fond. « Met toi sur le ventre! » Je me retourne, allongé sur le siege, cul en l’air. Il me tripotte le cul et le mords. Il se met une capote et m’enjambe. Il se frotte contre moi, sa queue glissant entre mes fesses. « Tu la veux ma queue? Heun petite petasse blanche? Tu veux que je te lime le cul, danois de ! » « Oh ouiii vas y» Il guide enfin sa belle bite droit dans mon petit cul blanc. Ça rentre facilement. « Toi t’a l’habitude de te faire bien enculer! » Il commence les vas et viens. Je gémis de plaisir. C’est tellement risqué mais si bon de se faire sauter comme ça. Il met de bons coups de reins. « Tu gémis bien. Tu kiffes te faire baiser par le noir qui nettoie? Toi on t’aurais baiser en chaine au village! » A chaque commentaire mes gémissements augmentaient et ses coups de bite aussi. « On t’aurais attaché dans une case et tu aurais vidé toutes les couilles du village! T’es une bonne salope. » Je femis si fort qu’il a pas pu se retenir et il s’est effondré sur mon dans un dernier coup de rein. On est resté quelques minutes ainsi. Il me mordait l’oreille, on s’embrassait sur le coté. « Tu repasse quand? » « Dans 4 semaines. » « Essaye de rester la nuit. » « Promis » « Tu vas prendre trop cher. » Je me rhabille. Et je pars pour mon terminal. J’ai changer mes billets pour rester une nuit au retour.