Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Au service de 4 blacks bien montés
Histoire gay publiée le 09/02/2024
Hello les mecs, je vais vous raconter une histoire qui s’est passée il y a 4 ans. A l’époque j’avais tout juste 18 ans. J’étais, et je suis toujours, un gars de 1m80, blond , petite frimousse avec quelques taches de rousseurs, joues charnues, yeux bleu, grosses levres, un corps musclé mais un peu rond rond avec de bonnes fesses bien rebondies. J’ai aussi une tendance a rougir assez vite avec les emotions ou dans l’effort. On préparait à ce moment notre bac avec un pote. C’était le mois de mai. On est tous les deux de bonnes familles, un peu bourge. Lui est plus grand que moi, maigre, lunettes, un physique de geek premier se la classe. Il était absent en cours depuis 2 jours. Je savais que ses parents étaient pas là cette semaine et il me semblait que son grand frere non plus. Je me suis inquiété et un jour, à la pause de midi, je suis allé chez lui pour voir si tout allait bien. Je sonne à la porte de la maison et une voix grave que je connais pas me répond. Je dis que je suis un ami d’Arnaud qui vient pour lui donné ses cours et savoir comment il va. La voix me dit qu’il est malade et qu’il prendra ses cours plus tard. Je suis super inquiet donc j’insiste. La voix se résigne et me dit « ok je t’aurais prévenu ». La porte s’ouvre, je traverse le jardin et la porte de la maison s’ouvre. C’est un grand black d’environ 26 and qui m’ouvre. Je suis super surpris parce que c’est pas trop le genre de la famille. Peut être un ami du frère, il a des frequentations bizarres. « Il est où Arnaud? » « Dans sa chambre il est malade. » « Je peux le voir » « Comme tu veux… » Le grand noir me fait entré. Il fait au moins 2 mètres, super baraqué, il est en short et tee-shirt, pieds nus. On se rapproche de la chambre et j’entends des grincements, des bruits étouffés, des voix graves et des sortes de grognements. Je me demande ce qu’il se passe. Le grand black ouvre la porte et je vois soudainement 3 renois et mon pote. Il est nu, a 4 pattes sur son lit, un gros renoi bien gras est entrain de le prendre alors qu’un autre, plus fin a sa bite enfonce dans sa bouche. Un troisieme est nu, debout, entrain de se branler en observant et en commentant. Je me fige. Le renoi à cote de moi sourit, les autres mes regardent et mon pote a ses yeux qui tombent sur moi. Il a un reflexe pour se retirer mais les mecs qui le montent le retiennent avec un: « Bouge pas Salope » Je recule malgré moi mais le grand black me saisit: « Tu vas pas nous quitter si tot » Je commence a vouloir partir. Il me met la main sur La bouche et s’adresse au gars qui se branle debout. « File les menottes » Le mec se deplace a cote du lit et revient, alors que je me debat, avec des menottes en fer. Il arrive a me prendre les bras et m’attacher les mains dans le dos. Mon pote essaye de reagir mais les deux baiseurs le retiennent. « Arrete laisse ton pote devenir une petasse comme toi » Le branleur recupere un boxer par terre et me l’enfonce dans la bouche. En 2 minutes je suis lancer sur le lit a coter d’Arnaud qui se fait ramoner. On baisse mon pantalon. Le grand black se deshabille. « Il a un bon gros cul pote Arnaud la petasse, il doit etre meilleur que le tiens! » Tres vite je sens du gel entre mes fesses, le grand enfile une capote. Il me prend par le visage. « Je t’avais dit de pas insiister salope » Ilse place derriere moi et fait glisser sa queue entre mes fesses. C’est une sensation etrange. Une chaleur et une crainte, une douceur et une durete. Il s’allonge un peu sur moi. À coté de moi j’entends les gémissements de mon pote, je sens les coups de reins du mec qui le defonce. Le gars qui se fait sucer retir sa queue de sa bouche. Il le prend par les cheveux. « Tu veux qu’Abdou defonce le cul de Salope de ton pote hein? » Mon pote gemit des coups de reins du gros noir. « Dis le sale petasse » « Oui il faut qu’il le baise » « Tu veux qu ‘il est fasse la meme salope que toi? » « Oui oui ouiiiiii » J’etais abasourdi, mon pote me vendait à ces mecs. Abdou, le grand noir, en profita pour faire coulisser sa bite lentement en moi. Il y eut une grosse douleur et je commençais à pleurer. « Ta gueule tu vas aimer apres sale chienne blanche » Abdou était tres direct et dominateur. Il commenca ses allers retours arrachants douleur et sanglots. Puis il trouva un rythme, une cadence. Et la douleur s’estompa, un plaisir s’installa. Sans meme que je me rende compTe, on retira mon baillon et je gemissait libre jusqu’a ce qu’une bite glisse dans ma bouche. C ‘etait le branleur. « Suce » C’etait mais je tentais de sucer comme je pouvais. Abdou me ravageais mon gros cul vierge, le branleur mais bouche vierge. Ils me baisaient chacun dans un de mes trous. Et apres un moment ils vinrent en même temps, un dans la capote dans mon cul, l’autre en plein dans ma face. J’avais jouis aussi… Et ce ne fut que le debut de cette journee