Histoires de sexe

Salut a tous, voici une histoireyy qui s’est passée il y a bientôt 4 ans. Je m’appelle Rémi, petit français de 18 ans tout juste à l’époque. Je venais tout juste d’arriver à Paris pour mes etudes fin 2019et je me démenais pour payer mes etudes en École de Commerce avec des petits boulots comme serveurs. J’en profitais aussi pour draguer les filles durant les soirées et je finissais rarement la nuit seul. Je dois dire que si niveau social la vie m’avait pas gâtée (famille nombreuse pauvre de province), niveau physique ça va. Je suis roux clair avec des cheveux courts, yeux bleus et taches de rousseurs, mais je suis bien bâti, musclé avec des jolies fesses bien rondes, des jambes bien dessinées etc. Et je suis imberbe. Mais voilà, le covid se pointe et je me retrouve dans mon 9 m2 sans job a devoir payer mon école. Ma famille ne pouvait pas m’aider et j’avais honte de demander. La situation était critique et j’en parle a un ami, Charlemagne, un grand black d’une riche famille africaine qui est en école avec moi. Il me dit qu’il a une solution mais qu’il pense que je suis pas à ce point désespéré. Je lui demande ce que c’est. Le sms de réponse me surprend et me choque: « Si tu me laisse t’enculer je te file tes 500€ de frais de scol » Je lui répond qu’il plaisante. « Non » Je répond que je suis hétéro et que c’est non. Il me dit ok, mais pense y. Les semaines passent… et ça devient critique. Je le recontacte pour lui demander si il peut pas me prêter plutôt. « Non, je veux ton cul » J’ai réfléchi une nuit entière et a 5-6h du mat, j’ai cédé… « Ok mais 1000€ » La réponse est venue en 5 min: « Ok je fais mon attestation de sortie, dans 10 min je suis là. » Je tremblais, stress et peur… 10 min après, ça sonne à l’interphone. C’est lui. Je lui ouvre. Je suis toujours en « tenue de nuit » : boxer et tee-shirt. Ça frappe à la porte. J’ouvre. Charlemagne est là en survet. Il a l’air d’avoir prit le premier truc qui lui passait sous la main. Il sourit. Il était plus grand que moi, 1m94, musclé aussi. La peau noire comme la nuit. Le crane rasé. Il entre. Il pose une enveloppe sur la table et s’assoit direct sur le lit après avoir enlever son manteau. « Ah putain c’est petit ici, t’es pas à l'étroit? » Je ne sais pas quoi dire et je rougis. « Par contre il fait chaud, tu veux pas te mettre a poil? » Je suis tétanisé. Son ton se durcit: « Je vais casqué 1000 balles alors tu vas être la pire des putes et faire ce que je demande. Dessape toi! » Je retire mon tee-shirt et mon boxer. Je suis nu. « Pas un poil, t’es une vraie meuf en fait. Par contre t’es comme j’imaginais… trop bonne! » Il se lève et se met nu aussi. Il est vraiment musclé, on voit ses abdos luisants. Et lorsqu’il retire son bas de survet, pas de boxer. Il est nu, juste une bite énorme, a demi dure, qui pends. Je pris un peu peur. « Viens te foutre a genoux devant moi! » Je rentre en mode robot, mes mouvements sont automatiques. Je me rapproche et je me met a genoux. Il commence par me biffler, en souriant. « J’ai tellement rêver de ce moment Salope, depuis que je t’ai vu » Il passe son gland circoncis sur mes lèvres. « Tu vas bien me la sucer petit blanc. » Il pousse légèrement mes lèvres et glisse sa queue. Je me mets a le sucer doucement. Je ne l’ai jamais fait mais je me dis que je vois comment les filles me le font. Je le suce , caresse ses couilles, les lèche. « Putain, pour un hétéro t’es un pro, je suis sur que t’a deja sucer des potes au college petite petasse. » Il en profite pour me toucher le cul. Je sens un de ses doigts dans ma fente. Il touche mon cul et mon trou et je sens son doigt rentrer. « Oh mais c’est serré ça, je vais kiffer! » Il retire sa bite de ma bouche en me tirant par les cheveux. « Tu es tout rouge, comme une vrai petasse au travail. Met toi a 4 pattes sur le lit » « Mais… » « Ta gueule, 1000 balles pour ton cul je vais te le prendre maintenant! » Je me retrouve sur mon lit, cul en l’air. Il a commencé par me le bouffer, la sensation était tres agréable en fait et j’ai du retenir des gémissements. Puis il s’est placé devant mon trou et sa bite enduite de salive commença a glisser en moi Ça m’arracha des cris de douleurs et quelques larmes. « Ta gueule sale petasse, t’avais qu’a pas être pauvre! La je vais te ramoner comme ma petasse puisque c’est ce que tu es! » Je tente de bouger mais il me saisi les hanches et commence son va et viens. Il commence a réellement me baiser en m’insultant et grognant. Il y a une pointe de plaisir mais surtout de la douleur. Il s’en fout et il accélère. Il prend son pied avec mon cul. Cette pensée me créé un étrange sentiment, comme du plaisir. Je commence a apprécier cette grosse bite qui me tringle. Charlemagne commence à entendre des gémissements de plaisir de ma part. Il rigole et me traite de vraie petasse. Il me ramone un bon moment a 4 pattes et soudainement un grand coup de rein qui m’arrache un cri de douleur et un liquide chaud envahit mes intestins. Il m’avait fécondé en plus. Il se retire et se met sur le coté. Je m’effondre sur le lit, du jus sors de mon cul. Un bruit de « clic clic » retenti. Il vient de prendre des photos. « Putain c’était trop bon! » Il se rhabille, montre l’enveloppe. « Il y a ton paiement sale sous race de petasse! » Et il se casse. Une heure après, il m'envoie les photos de moi, nu, cul en l’air , le trou débordant de son foutre. « Tu vas continuer à être ma petasse et pour moins cher! » Et c’est comme ça que ça a commencé…