Histoires de sexe

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Utilisé par un Alpha TBM : Un Plan cul Inoubliable
Histoire gay publiée le 07/06/2025
Je vis seul, j’ai un job à temps plein, une voiture, mon appart, et je gère toutes mes factures. Je suis indépendant, sérieux la semaine... mais quand le week-end arrive, je me lâche. Ce vendredi soir-là, j’étais chaud comme jamais. J’avais besoin d’un vrai mâle, bien monté, dominant.
Je contacte un mec que j’avais rencontré quelques semaines plus tôt. Il est jeune — début vingtaine — musclé, viril, l’air sûr de lui. Officiellement hétéro, avec une copine et des gosses. Mais il sait très bien que je fantasme sur lui, et ça ne le dérange pas.
Je lui écris. Il répond direct :
— « Toujours en manque de grosse queue, le daron ? »
Une heure plus tard, il est chez moi. Pas de bonsoir, pas de gêne. Il débarque torse nu, en jogging, sans sous-vêtements. Je bave déjà devant le paquet qui ballotte entre ses cuisses. Il s’installe sur mon canapé, jambes écartées, bien à l’aise.
— « T’attends quoi ? À genoux. »
Je m’exécute sans discuter. Je baisse son jogging, et là... cette queue. Épaisse, lourde, un bon 25 cm, veineuse, avec un gland bien gonflé. Je la prends dans la bouche, tout doucement. Il attrape ma tête et me la fait avaler entière d’un coup sec. Je suffoque, je salive, je me fais baiser la gorge comme un sextoy.
— « Voilà, t’es juste un trou. Et j’adore ça. »
Il se lève, me retourne comme une poupée, me crache sur le cul, écarte mes fesses et commence à me doigter. Il sort un gel de sa poche, l’applique sur sa queue, et d’un seul coup de bassin, il me transperce. Je hurle de plaisir.
Il me tient par les hanches et me baise violemment. Chaque coup fait claquer nos corps, son souffle se fait plus lourd. Il tape pile là où il faut, me rend dingue.
— « Tu kiffes ça hein ? Te faire remplir par une grosse queue de mec ? »
— « Oui… continue… s’il te plaît… »
Il rit, me traite de salope, de chienne, me pousse plus fort encore. Il me plaque contre le mur, me prend debout, puis me balance sur le canapé pour me pilonner dans une autre position. Je suis son jouet, son trou à remplir.
Quand il sent qu’il va jouir, il me remet à genoux. Je prends sa queue trempée dans la bouche, je l’engloutis goulûment. Il grogne, me tient fermement, et jouit au fond de ma gorge. Je bois tout. Il me regarde, sourit et me dit :
— « Bon petit chien. Je repasse bientôt. Sois prêt. »
Il repart sans même se rhabiller complètement, et moi je reste là, le cul brûlant, la gorge pleine, avec un seul désir : qu’il revienne me démonter encore.