Histoires gay sex de Universblack

Le dealer vient vers moi. « A genoux sale petasse! » Je me met a genoux devant lui. Il sort une enorme bite de 21 cm . Je vois ses belles couilles bien pleines. Il vire son boxer et me biffle avec sa queue. Une odeur de foutre seche me monte au nez. « Tu kiffes ça les queues africaine? » « Oui Boss! » Il fait glisser son gland sur mes levres

La-bas il avait une grande maison avec gardien et servante, plusieurs chambres et salons. Dès le premier soir, alors que je decouvrais la chambre d’ami ou je logeais, il se pointa, nu, une serviette autour de la taille. « Tu as appeler tes parents pour leur dire que tu es bien arrivé? » « Oui Alain » « Alors je vais commencer a bien m’occuper de toi comme j’ai promis » Il laisse tomber sa serviette

Je me met direct a genoux, il me prend derriere la nuque et me plaque la tete sur l’entrecuisse. Je mordille sa bite a travers le short. « T’es pressé salope » Il sors sa belle matraque noire et me biffle avec. « Tu aimes hein petite française? » « Oui trop » « Oui qui? » « Oui bo… » Il m’enfonce sa bite directe fond de gorge avec un rale. Il commence des vas et viens. Il me baise littéralement la bouche

l y a des pauses ou il me laisse lécher son gland et ses belles couilles imberbes. Il gémit, il grogne, et après un moment il appuie ma tête fortement contre lui, enfonçant sa bite a fond de gorge dans un grand rale. Je sens des jets de foutre chaud dans ma gorge. « Mmmmm ouiiiiii, putain c’est bon salooooope! » Il se retire et je reprend ma respiration. « Wow tu es une vraie suceuse, attends je vais te chercher un truc pour essuyer la bouche. »

Mes cris sont és par la queue d’Alain. Apres un moment Leonard a un dernier coup de rein rude et un liquide chaud se repend en moi, au creux de mon cul. Il se retire. « Aller, assez sucé sale petit blanc, viens faire ton job de petasse et monte sur moi. » Je stoppe ma pipe a Alain et je me glisse vers lui. Je le chevauche, face a face et je laisse sa bite entrer en moi. Je me met a monter et descendre sur lui en gémissant. « C’est bien sale babtou! » Leonard se place debout sur le lit devant moi et m’enfonce sa bite toujours couverte de foutre dans la bouche.