Histoires gay sex de Universblack

Son ton autoritaire était plus que kiffant. Je recula de deux pas tandis que lui avança. J'avais vraiment l'impression de rêver là. À puissance de reculer je tomba sur un canapé, il se jeta sur moi. Là je me débattis mais rien à faire... Il était bien plus fort que moi déjà que je suis treeeeeeeeeeees faible physiquement. Malgré que j'ai de la chair et que je sois assez fin comme mec. Il coinça mes deux mains en arrière avec une seule main! Il m'attacha les poignets avec une nappe de décoration posé sur la table du salon. À puissance de me débattre j'avais hyper mal alors je cessa

C’est un peu dur mais je dois tout avaler, au risque de me prendre une baffe monumentale et de devoir subir une sodomie très douloureuse. Après cela je continue de le sucer en lui caressant les boules jusqu’à ce qu’il jute en moi. Et c’est comme ça tous les matins. En début d’après-midi, et tous les soirs avant de rêver c’est double-péné obligatoire

Au bout d'une minute je me retrouvait devant la plus grosse queue que j'avais jamais vu, 24×7 facile bien équilibrée. Une main ne suffisait pas pour faire le tour de ce membre magnifique. Grosse, longue, flexible, avec un gland qui prenant tout l'espace dans ma bouche. Je devint complètement fou de cette queue et de son corps et je fus pris d'une faim sans limite pour son sexe. Je léchais consciencieusement chaque partie, l'embrassait, la venerait littéralement.

On parle de tout et pendant le café il a du me grillé à le mater car après la conversation a commencé à changer il me dit si c’est pas trop dur d’astiquer toute la journée avec un petit sourire et après je suis dit si les colis c’est pas chiant il me dit que lui c’est que les gros colis je commencer à être serrer

Sélim s’approcha et je pris en bouche sa teub de plus de 22 cm. Abdou me crache sur le cul, et enfonce d’un coup sa bite en moi ! Il devine que je hurle de douleur malgré la bite de Sélim dans la bouche ! « Si tu crois que j’allais salir mes doigts pour t’éviter de souffrir ! Au contraire, j’adore quand je fais couler mes partenaires ! » Je souffre mais je ne peux m’empêcher d’être excité par ce qu’il dit. Putain, il ralentit pas, il accélère même !