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L'homme d'affaire
Published on 18/03/2019
J'ai 55 ans, je suis blanc, divorcé et plutôt séduisant (d'après les femmes pour l'instant). Et évidemment je suis hétéro. Mais j'ai depuis longtemps une certaine curiosité et une attirance refoulée pour les hommes noirs. Je me masturbe régulièrement en fantasmant sur eux et leurs grosses bites. Je suis chauffeur vtc et ai un van luxueux. Je suis appelé en fin de journée pour faire une course VIP à Roissy et prendre un client et l'emmener à un palace parisien. J'arrive au terminal et vois un homme d'affaires black qui m'attend. Je descends du véhicule et mets ses valises dans le coffre. Il semble de mauvaise humeur et ne m'adresse pas la parole. Nous partons. Au bout de quelques kilomètres il m'ordonne de stopper sur la prochaine aire d'autoroute. C'est un beau mâle d'une trentaine d'années, bien bâti et très beau. Je n'ai pas arrêter de le mater dans mon rétroviseur. J'étais très excité de faire le larbin pour lui et de faire tout ce qu'il me demanderait. Je m'arrêtais donc. Il me demanda de venir à l'arrière. Je m'exécutai. Bien sûr, les vitres arrière sont surteintées et il est impossible de voir quoi que ce soit de l'extérieur. Sitôt monté, il me dit : «à genoux sale chien. Je sens que tu es une vraie salope, une bonne petite chienne, une lopette.» Je ne sus que répondre. Je me mits à genoux face à lui et remarquait le gros renflement dans son pantalon fin et léger. Il m'ordonna d'ouvrir son pantalon. Je découvris alors une queue monstrueuse de plus de 20 cm et assez épaisse. Je fus effrayé. «suce salope !». «je ne peux pas, je ne l'ai jamais fais et votre queue est bien trop grosse pour une première fois». Pour toute réponse, je reçus un crachat sur le visage. «Suce, sale chienne sinon je te mets une bonne branlée». Encouragé, je pris dans ma main la grosse bite déjà bien raide et la mis dans ma bouche grande ouverte. Je léchai timidement le gland quand je sentis deux mains s'abattre sur ma tête et appuyer très fort. «J'ai dit suce, pas lèche». La queue me toucha le fond de la gorge et je m'ai. Mon maître relâcha sa pression et je pus remonter la tête mais, aussitôt mes lèvres arrivées au niveau du gland tout mouillé, une nouvelle pression s'exerca. Il me baisait la bouche et il commença à grogner de plaisir. J'avais les larmes aux yeux et savais déjà que j'allais devenir son esclave sexuel pendant son séjour à Paris. Avec frayeur, je n'osais pas imaginer la douleur quand il me prendrait le cul. Il continuait de m'insulter et râlait de plaisir. Je sentais sa grosse bite gonfler au maximum. Il allait jouir grâce à ma petite bouche de lopette. J'étais quand même fier de moi et du plaisir que j'allais lui procurer. Tout à coup, il se souleva légèrement et appuya de toutes ses encouragements sur mon crâne. Sa queue énorme me toucha le gosier, je sentis les spasmes de sa bite, puis le jus épais commença à gicler en jets continus. Je voulus me retirer mais mon futur MAÎTRE dit : «Tu vas tout prendre dans la gueuler salope et tu vas tout avaler, jusqu'à la dernière goutte ! » Je fis ce qu'il me demanda. Et j'aimais ça. Je sus alors que j'étais devenu une bonne petite petasse docile prête à tout pour le plus grand plaisir de mon MAÎTRE. J'allais passer une semaine comme esclave sexuel....