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Gangbang en trav chez Malik – J’ai servi six mecs toute la nuit
Histoire gay publiée le 29/05/2025
Samedi soir. Je me prépare, nerveux et excité. Malik m’a promis une soirée spéciale. Il m’a prévenu par message :
— Ce soir, on sera six. Des mecs chauds, comme moi. Tu vas les servir comme il faut. Ça te chauffe ?
— Tu sais que oui, j’ai adoré l’autre fois.
— Habille-toi sexy. Trav si tu veux. Ils kiffent ça.

Je me transforme. Perruque blonde, seins silicone, mini-jupe léopard, bas noirs, haut moulant, et dessous : rien. Juste ma cage bien en place. Je me regarde dans la glace : je suis une vraie salope. Et j’assume.

À 20h, on sonne. J’ouvre. Malik entre. Il me mate direct.

— Putain… T’es bandante. Ils vont devenir fous.

Il glisse sa main sous ma jupe, effleure la cage.

— Parfait. Tu viens nue dessous, comme une vraie. Et la cage, tu la gardes, ça les excite encore plus.

On part. Dans la rue, les regards se posent sur moi. Ma jupe ne cache presque rien. Je sens l’air sur mes fesses. Mon rôle est clair. Je suis là pour être vue… et prise.

On arrive à une maison avec une cour, barbecue en route, musique afro, cinq mecs déjà là. Tous grands, baraqués, bien sapés. Certains m’ont déjà baisé avec Malik. Il me présente comme "la chienne du soir".

On entre. Une pièce vide avec juste un matelas. Dès que j’y mets les pieds, des mains me touchent les hanches, les seins, le cul.

— Ce soir, t’es notre vide-couilles. T’es prêt ?
— Oui… je suis là pour ça.

Je me mets à genoux. Les bites sortent. Épaisses. Dures. Bandées. Je commence à les sucer. L’un après l’autre. Ils me parlent sale. Je gémis. Je m’ouvre. J’en veux encore. Je me fais retourner, baiser, remplir.

À un moment, deux me prennent ensemble. Je les prends tous. Je veux tout. Je suis dans ma zone. Soumise. Offerte. Heureuse.

Les heures passent. J’ai le visage trempé de foutre, les cuisses luisantes, la bouche toujours ouverte. Je suce, je me fais prendre, encore et encore. Ils jouissent en moi, sur moi, sur mes seins, ma gueule, mon dos.

À la fin, Malik s’approche. Il me nettoie doucement. M’aide à me relever. Je suis épuisé. Mais comblé.

— Tu as assuré. Et ce n’est que le début.

Il me sourit, et me glisse à l’oreille :

— J’ai envie que tu sois à moi. J’ai des plans pour toi. À Paris. À Dakar. Tu serais prêt à servir plus grand ?

Je lui réponds, sans hésiter :

— Je suis à toi, Maître. Emmène-moi où tu veux.